Par Bernard Sablonnière, Professeur des Universités - Praticien hospitalier CHRU -
Directeur de l’Ecole Doctorale Biologie Santé de Lille

Le cerveau utilise de nombreuses substances naturelles qu’il utilise comme
des accélérateurs, des freins ou des régulateurs de son fonctionnement.

Ces substances peuvent être des neurotransmetteurs ou des hormones.

La plupart de ces substances peuvent être imitées, bloquées ou perturbées
dans leurs effets par des drogues ou des médicaments.
Ainsi au tout début des Ainsi, au tout début des années 50, ont été décrites l’action de ces substances capables de modifier notre comportement et désignées ainsi « substances psychoactives ».
Bernard Sablonnière nous décrira l’effet de ces substances telles que le café,
le tabac, l’alcool ou encore les antidépresseurs, le cannabis et la cocaïne
qui sont capables de modifier si dangereusement parfois notre volonté, nos envies ou encore nos décisions.
En route dans le dédale des neurones et de ses communications assurées par de minuscules clés chimiques.

Affiche

et diaporama de B. Sablonnière

Résumé de la conférence :
Drogues et médicaments : le cerveau malléable ?

Le cerveau utilise de nombreuses substances naturelles qu’il emploie comme des accélérateurs, des freins ou des régulateurs de son fonctionnement. Ces substances peuvent être des neurotransmetteurs ou des hormones. La plupart de ces substances peuvent être imitées, bloquées ou perturbées dans leurs effets par des drogues ou des médicaments. Ainsi au tout début des années 50, a été décrite l’action de ces substances capables de modifier notre comportement et désignées ainsi « substances psychoactives ». Le conférencier a décrit l’effet de ces substances telles le café, le tabac, l’alcool ou encore les antidépresseurs, le cannabis et la cocaïne qui sont capables de modifier si dangereusement parfois notre volonté, nos envies ou encore nos décisions. En route dans le dédale des neurones et de ses communications assurées par de minuscules clés chimiques.

Au cours de cette conférence, B. Sablonnière a démontré toute la complexité des régulations « chimiques » dans le cerveau. Il a aussi souligné l’importance de la barrière hémato-encéphalique.
Cette conférence a réuni environ 30 personnes passionnées par le sujet, dont plusieurs ayant déjà participé à la première conférence, ainsi qu’au débat préparatoire.
La discussion a porté notamment sur l’utilisation de différents médicaments et des risques liés à leur utilisation à long terme par des effet de feed-back (augmentation d’une substance et diminution de son récepteur).