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Les participants

ORGANISATION DES ATELIERS « CHIMIE CUISINE ET TEXTURES » :

Trois ateliers menés chacun sur une demi journée.

Par atelier :
Environ 25 élèves primaire/ collège, 15 « Grands » (élèves de lycée) et plusieurs adultes, divisés en 4 groupes.

Les plus jeunes manipulent par 3, sur des ateliers prévus pour 2 sous-groupes de 3

Rôle de chacun :

Rôle des élèves de Lycée :

Ils encadrent chaque sous-groupe de 3, avec une mission de pilotage, « surveillance technique », explications en s’appuyant sur leur spécialité professionnelle (Lycée professionnels Lavoisier de Roubaix, sections cuisine, et Colbert de Tourcoing, section prothésistes dentaires).
Ils les guident en particulier sur le respect des modes opératoires, l’organisation du poste de travail (soin des manipulations, propreté du poste de travail et du matériel, précision des résultats, etc) ainsi que sur la rédaction des comptes-rendus.

Rôle des adultes

Les adultes assurent un accompagnement des enfants et des jeunes essentiellement sur la méthode d’analyse : veiller aux aspects de logique, les pousser à l’envie de chercher, d’imaginer sans chercher à se réfugier dans des connaissances plaquées, et à construire un raisonnement avec rigueur.

Le but est de cibler sur l’analyse et non sur les connaissances « académiques » et cela ne nécessitait pas d’être spécialiste ni en chimie, ni en cuisine. Il s’agissait de

  • les pousser à exprimer leurs idées, leurs interprétations, avec rigueur :

par exemple : Comment décrire avec précision une texture:ce qu’est un liquide, une pâte, un solide dur cassant mou... imaginer au niveau des plus petites particules de cette matière : « l’échelle moléculaire », tel ou tel comportement d’une matière : liquide, solide, pâteux ou autre..

  • les pousser à distinguer les « illusions » et les « certitudes » :

Comment vérifier, être sûrs, etc..
Par exemple, réaliser des tests sur le sucre, l’acide, etc..
(Exemples concernant les illusions gustatives : des boissons ou aliments peuvent paraître sucrés ou peu sucrés suivant ce qu’on a mangé avant, ou selon les habitudes personnelles ou culturelles (ex alimentation couramment très pimentée, ou salée, ou sucée), ou par effet de « masque » (par exemple, le sucre masque l’acide, ou l’acide masque le sucre) .


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